|
|
|
« Les histoires d’infirmières. Celles
de notaires, ou de médecins, qui alimentaient Balzac, que sont-elles à
côté de celles d’infirmières, vivant près de la mort, voyant le développement
des situations sociales, datant à distance l’évolution des maladies, jour
et nuit, avec patience, ce que ne
voient pas les médecins, qui ne font que passer. Celle-là,
au courant de tous les secrets, écoutant les soupirs, les apparitions,
les phantasmes des vieux et des vieilles, qui, soudain, disent
tout ; et au-delà. » |