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Dernière édition MMV - Équinoxe du printemps  
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Rien de plus. Et plus rien.

       
La musique, au bout de cent représentations, le tableau, après trente visites, la contrée, au cinquième ou sixième voyage, commencent à ne plus rien fournir à mon imagination et je m’ennuie…
  « L’Inconstant raconte que ce qui le charme dans les voyages, c’est qu’on ne revoit jamais ce qu’on a déjà vu.
Je suis inconstant d’une manière un peu moins rapide ; ce n’est qu’à la seconde ou troisième fois qu’un pays, qu’une musique, qu’un tableau me plaisent extrêmement. Ensuite, la musique, au bout de cent représentations, le tableau, après trente visites, la contrée, au cinquième ou sixième voyage, commencent à ne plus rien fournir à mon imagination et je m’ennuie. »
       
       

 

   
Stendhal (1783-1842), L’Italie en 1818, 14 septembre 1818 ; Gallimard, « Pléiade » : Voyages en Italie, 1973, p. 238.
   

 

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